Un squat de migrants s'installe en plein cœur du Pays d'Auge.
Il y a de cela quelques semaines, la Fédération Reconquête! du Calvados s'inquiétait de l'installation d'un squat de migrants dans un ancien couvent de Lisieux.
Aujourd'hui, afin d'échapper à une expulsion qui aurait été possible par le biais de la loi Kasbarian, dite loi "anti-squat", celui-ci vient de déménager et d'investir la campagne normande, en plein Pays d'Auge, à Cambremer.
Cette fois-ci, c'est un ancien EHPAD qui en fait les frais. Et ce sont toujours les mêmes méthodes utilisées afin d'anticiper tout recours. Le Collectif lexovien des personnes privées de droit s'en vante même dans la presse, avouant mettre en place des preuves d'occupation sur les boîtes aux lettres et des preuves numériques avec Certiphoto tout autour du bâtiment.
Ce sont donc une quarantaine de migrants, en situation irrégulière et dont certains ont été déboutés du droit d'asile, qui viennent d'être installés dans cette commune de 1310 habitants à la veille de la trêve hivernale. Installation qui ne cesse de nourrir les inquiétudes et les conversations et qui a conduit le syndicat des copropriétaires de l'EPHAD à porter plainte.
Nous dénonçons l'illégalité de la présence de ces personnes, l'illégalité organisée de leur condition d'hébergement au détriment des sans-abris de cette commune, ainsi que le financement de la scolarité des enfants de ces migrants par nos impôts.
Nous demandons la défense du droit fondamental à la propriété qui exige que l'on puisse imposer l'expulsion immédiate des squatteurs, ainsi que l'inscrivait Eric Zemmour en 2022 lors de la campagne présidentielle.